Lyrics

On se rappelle toujours sa première maîtresse J'ai gardé de la mienne un souvenir plein d'ivresse Un jour qu'il avait plu, tous deux on s'était plu Et puis on se plut de plus en plus Je lui demandais son nom, elle me dit Valentine Et comme elle prenait chaque jour la rue Custine Je pris le même chemin et puis j'lui pris la main J'lui pris tout enfin Elle avait de tout petits petons Valentine, Valentine Elle avait de tout petits tétons Que je tâtais à tâtons, ton ton tontaine Elle avait un tout petit menton Valentine, Valentine Outre ses petits petons, ses petits tétons, son petit menton Elle était frisée comme un mouton Elle n'était pas d'une grande intelligence Non mais dans un plumard, ça n'a pas d'importance Quand on a 18 ans, on n'en demande pas tant Du moment qu'on s'aime, on est content Elle n'avait pas non plus bon caractère Non, non elle était jalouse, jalouse et même autoritaire Pourtant, j'en étais fou, elle me plaisait beaucoup Parce que surtout Elle avait de tout petits petons Valentine, Valentine Elle avait de tout petits tétons Que je tâtais à tâtons, ton ton tontaine Elle avait un tout petit menton Valentine, Valentine Outre ses petits petons, ses petits tétons, son petit menton Elle était frisée comme un mouton Hier, sur le boulevard, je rencontre une grosse dame Avec de grands pieds, une taille d'hippopotame Vivement, elle me saute au cou, me crie "bonjour, mon loup" J'ai dit "pardon Mdame, mais qui êtes vous" Elle me répond "mais c'est moi voyons, Valentine" Devant son double menton, sa triple poitrine Je pensais, rempli d'effroi, ce qu'elle a changé, ma foi Dire qu'autre fois Elle avait de tout petits petons Valentine, mais oui Valentine Elle avait de tout petits tétons Que je tâtais à tâtons, ton ton tontaine Elle avait un tout petit menton Valentine, Valentine Ses petits petons, ses petits tétons, son petit menton Qu'est-ce que tout ça est devenu Oh pauvre petite mère Valentine
Writer(s): James Merrill Brickman, Jack David Kugell Lyrics powered by www.musixmatch.com
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