Week-end sans wifi

(Ouh-ouh-ouh-ouh)

Ba-ba-ba-ba-ba

Na-na-na-na-na-na

(Na-na-na-na-na)

(Ouh-ouh-ouh-ouh-ouh)

J’ai cent cinquante deux amis

Sur les réseaux

J’y déroule l’envers de ma vie

Sous un pseudo

Plat du jour, deuil, auto-portrait

Vue sur cour, orgueil et regrets

Je ne me connais qu’un interdit

Un triste répit (Ouh-ouh-ouh)

Le week-end sans wifi

Na-na-na-na-na-na

Week-end sans wifi

Sans ma clique, mes cœurs en couleurs

Les profils pour dire la douleur

D’un supplice qui n’expire jamais

Saoulé, si près

D’un week-end sans wifi

(Na-na-na-na-na-na)

De guerre lasse j’ai été admis incognito

Dans un centre addictologique

D’un genre nouveau

(Ouh-ouh-ouh-ouh-ouh)

Depuis je n’me reconnais plus

Me voici enfin revenu

Ce délice qui n’agit qu’après

Dans le secret (Ouh-ouh)

D’un week-end sans wifi

Na-na-na-na-na-na

Week-end sans wifi

Han-han-han

(Na-na-na-na-na)

J’ai le cœur qui par en spirale

Mon docteur m’a dit : « C’est viral »

Je n’aime pas ce côté mot-dièse

Mais ça m’apaise

Week-end sans wifi

Na-na-na (Na-na)

(Ouh-ouh-ouh-ouh-ouh)

Chant du signe version virtuel

Je vais mieux, n’ai plus de séquelles

J’ai les codes, l’aimes tu la chanson ?

(La fibre maison)

Du week-end sans wifi

(Na-na-na-na)

Vertige qui s’en suit

(Na-na-na-na)

Week-end sans wifi, ih-ih

(Na-na-na-na)

Presque-île de l’ennui

(Na-na-na-na)

Week-end sans wifi

Na-na-na-na-na-na

Week-end sans wifi

Na-na-na-na-na-na

Week-end sans wifi

Na-na-na-na-na-na

(Na-na-na-na-na, ouh-ouh-ouh)

(Week-end sans wifi)