Porté par les riffs de Gregor Mackintosh et la voix d'outre-tombe de Nick Holmes, le doom massif de Paradise Lost crée les prémices du metal gothique dans les années 90. Spécialistes des mélodies hypnotiques, les Britanniques se distinguent par leurs orchestrations plus étoffées que la moyenne des groupes du genre. À l'aide de nappes synthés, ils renforcent leur versant le plus sépulcral.