À la première écoute de Phum Viphurit, on n’est pas surpris que son flegme mélancolique trouve sa source dans les ballades jazz folk de Bahamas ou de Matt Corby. Mais sa bedroom pop songeuse repose aussi sur une section rythmique énergique, rappelant les reines de la fête des dernières décennies, d’ABBA à Gwen Stefani, ou l’électro addictive de Daft Punk.