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INTERPRÉTATION
Benjamin Biolay
Benjamin Biolay
Claviers
Nicolas Fiszman
Nicolas Fiszman
Guitare
Fernando Samalea
Fernando Samalea
Batterie
Clément "Animalsons" Dumoulin
Clément "Animalsons" Dumoulin
Programmation
Philippe Almosnino
Philippe Almosnino
Guitare
Anne Gravoin
Anne Gravoin
Violon
David Braccini
David Braccini
Violon
Cécile Tête
Cécile Tête
Violon
David Galoustov
David Galoustov
Violon
Arnaud Vallin
Arnaud Vallin
Violon
Marianne Lagarde
Marianne Lagarde
Violon
Vinh Pham
Vinh Pham
Violon
Jacques Gandard
Jacques Gandard
Violon
Julien Gaben
Julien Gaben
Alto
Vanessa Menneret
Vanessa Menneret
Alto
Vincent Debruyne
Vincent Debruyne
Alto
Mathile Sternat
Mathile Sternat
Violoncelle
Héloïse Luzatti
Héloïse Luzatti
Violoncelle
Afaf Fakhour
Afaf Fakhour
Contrebasse
Pablo Gignoli
Pablo Gignoli
Bandonéon
Michel Ansellem
Michel Ansellem
Claviers
COMPOSITION ET PAROLES
Benjamin Biolay
Benjamin Biolay
Composition
PRODUCTION ET INGÉNIERIE
Benjamin Biolay
Benjamin Biolay
Production
Julien Delfaud
Julien Delfaud
Ingénierie de mixage
Alex Gopher
Alex Gopher
Ingénierie de mastérisation

Paroles

Et je ne m'en rappelle plus Mais je m'en souviens J'ai tout oublié, mais tout me revient On escaladait nus des montagnes de joie Pour parvenir accru au bout de nos chagrins Je ne m'en rappelle plus Mais parfois me reviennent Des rengaines insensées Trois milliers d'éoliennes Des amours désossés Et d'autres bien plus chiennes Mais peu d'eux s'arrangeaient Rien dont je me souvienne Il y a bien sûr ces nuits Où la mémoire se raye Il y a bien sur ta nuque Et des boucles d'oreilles Des mots glaçants qui marquent Bien plus que les coups Et puis aussi ces marques De suçons dans mon cou Je ne me rappelle à peine Mais je me souviens D'avoir fait de la peine À ceux que j'aimais bien D'avoir quasi vécu D'eau fraîche et puis de vin Je n'ai pas posé nu J'ai fraudé tous les trains Je ne m'en rappelle plus Mais parfois me reviennent Ces armées de cocus Sous de lourds ciels de traîne Battant le pavé nu Je prenais pas tangente Grâce à quelques gros culs La vie fut bien charmante Il y a bien quelques soirs Où la mémoire recrée Ta petite robe noir Et ton grain de beauté Celui sur ta poitrine Comme un astre égaré Quand la nuit de morphine Devient l'aube dorée Je ne m'en rappelle plus Mais je m'en souviens J'ai tout oublié Mais tout me revient Ces volées de mots crus Qui atterrissaient bien Entre le lit et le mur On se faisait du bien Mais parfois c'est le pire La mémoire joue des tours Et met un point d'honneur à salir nos amours Mais le cœur et les tripes ne portent pas d'armure Et l'amour en principe est une piqûre qui dure Il y a toujours ces nuits Où la mémoire me flanche Que sur quelques détails Sans la moindre importance Mais au fil de ces films L'espoir se fait la paire Et plus les nuits défilent Plus le cœur est de pierre Plus la mémoire me perd Plus la mémoire me perd
Writer(s): Benjamin Biolay Lyrics powered by www.musixmatch.com
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