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Crédits

INTERPRÉTATION
Francis Cabrel
Francis Cabrel
Guitare
Denis Benarrosh
Denis Benarrosh
Percussion
Laurent Vernerey
Laurent Vernerey
Basse
Christophe Guiot
Christophe Guiot
Violon
Elisabeth Pallas
Elisabeth Pallas
Violon
Vincent Brun
Vincent Brun
Violon
Gloria Gashi
Gloria Gashi
Violon
Jean Philippe Kuzma
Jean Philippe Kuzma
Violon
Jean-Michel Lenert
Jean-Michel Lenert
Violon
JOCELYNE MAUBRE
JOCELYNE MAUBRE
Violon
David Naulin
David Naulin
Violon
Laurent Philipp
Laurent Philipp
Violon
Fanny Coupé
Fanny Coupé
Alto
Martine Schouman
Martine Schouman
Alto
Jean-Phillippe Audin
Jean-Phillippe Audin
Violoncelle
Philippe Nadal
Philippe Nadal
Violoncelle
COMPOSITION ET PAROLES
Francis Cabrel
Francis Cabrel
Composition
Bertrand Lajudie
Bertrand Lajudie
Arrangement
PRODUCTION ET INGÉNIERIE
Francis Cabrel
Francis Cabrel
Production
Michel Françoise
Michel Françoise
Production
Sébastien Bramardi
Sébastien Bramardi
Ingénierie de prise de son
Ludovic Lanen
Ludovic Lanen
Ingénierie de mixage
Baptiste Murguiondon
Baptiste Murguiondon
Assistance d’ingénierie
Joel Workman
Joel Workman
Assistance d’ingénierie
Greg Calbi
Greg Calbi
Ingénierie de mastérisation
Ben Gardiner
Ben Gardiner
Assistance d’ingénierie
Steve Fallone
Steve Fallone
Assistance d’ingénierie

Paroles

À l'aube revenant
Les amants se relèvent
Descendent de leurs rêves
Encore ruisselant
Chaque geste est urgent
Puisque le jour se lève
La tempête s'achève
En murmures brûlants
À l'aube revenant
Il s'étaient perdus dans l'obscurité profonde
Là les étoiles se fondent
Au jour apparaissant
À leurs pas hésitants
On sent la fin du monde
Encore une seconde
Encore un instant
À l'aube revenant
Le souffle qu'on entend
C'est deux cœurs qui s'arrachent
Une main se détache
Et l'autre la reprend
Aux yeux l'égarement
Des oiseaux qu'on relâche
Et qui cherchent où se cachent
Le piège qu'on leur tend
À l'aube revenant
Au moindre éloignement
La vie qui les oblige
Le vide, le vertige et faire semblant
Ils se couvrent de serments
Se jurent de poursuivre
Leurs courses à un équilibre
Sur les pierres des torrents
À l'aube revenant
Chacun séparément
Continuera le rêve
Le seul qui les soulève
Et les garde vivants
C'est éternellement
Qu'ils se croyaient soudés
Et même l'éternité
Pour eux c'est pas assez longtemps
À l'aube revenant
Ils étaient deux passants
Dans l'anonyme foule
Dans ce fleuve qui roule
Dans la masse des gens
Ils se sont reconnus
Un peu trop tard peut-être
Mais c'est se reconnaître
En vrai qu'est important
À l'aube revenant
Les amants se relèvent
Descendent de leurs rêves
Encore ruisselant
Written by: Francis Cabrel
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