Les plaisirs démodés (Live au Palais des Congrès, Paris / 1997)

Viens, découvrons toi et moi les plaisirs démodés

Ton cœur contre mon cœur malgré les rythmes fous

Je veux sentir mon corps par ton corps épousé

Dansons joue contre joue

Dansons joue contre joue

Viens, noyés dans la cohue mais dissociés du bruit

Comme si sur la Terre, il n'y avait que nous

Glissons les yeux mi-clos jusqu'au bout de la nuit

Dansons joue contre joue

Dansons joue contre joue

Oh, chérie viens contre moi, serre-toi

Serre-toi, serre-toi plus fort encore, c'est ça

Oh, non, non, non, t'occupe pas des autres

On est bien comme ça, ta joue contre ma joue, n'est-ce pas ?

Oui, oh, bien sûr qu'on danse comme on dansait y a longtemps mais

À l'époque, ils n'avaient peut-être pas tout à fait tort, vois-tu

Le temps passe, les modes changent, hm

L'amour, l'amour reste, il reste immuable, chaleureux, merveilleux, unique

Éternel, voilà le mot, éternel

Hm-hm-hm

Viens, noyés dans la cohue mais dissociés du bruit

Comme si sur la Terre, il n'y avait que nous

Glissons les yeux mi-clos jusqu'au bout de la nuit

Dansons joue contre joue

Dansons joue contre joue

(Pa-pa-pa, pa-pa-pa-la)

(Pa-pa-ya, pa-pa-pa)

(Pa-pa-la, pa-pa-pa-la)

(Pa, pa-la-la, ya)

(Ah)

Merci

C'était sur une musique de Georges Garvarentz