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YAO - Étrange Absurdité (Le film)
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크레딧

실연 아티스트
Yao
Yao
실연자
작곡 및 작사
Sonny Black
Sonny Black
작곡가
Yaovi Hoyi
Yaovi Hoyi
송라이터
Ophélia Léger
Ophélia Léger
송라이터

가사

De ses regards croisés dans une foule coincée, Le face-à-face mortel, N'a fait que commencer. Spirale de paroles échangées Entre deux tranches de vie intercalées, Entrelacées dans une parallèle, Coincées dans un sacré bordel Elles suivent pourtant le même tracé. Parallèles qui trainent dans l'obscurité, Tu te caches dans la lueur, Je t'ai dans la peau, Je t'ai dans le cœur, Étrange étranger, absurde absurdité De nos histoires vécues, Dans un passé distant. Lointain de nos histoires de vie en ce moment présent, La fin d'une phrase et le début d'une leçon Au futur, comme une dictée trouée, Le coup de génie, Sur l'œuvre inachevée, De Lynch, Oh Willie, Vrai ou faux, Noir ou Blanc, Reste que le fruit est étrange (Strange fruit) Perché par le cou Embrassant l'asphalte de ses joues Et à genoux, tu traînes dans l'obscurité Pourtant tu te caches dans la lueur Mais je t'ai dans la peau, Et je t'ai dans le cœur Étrange étranger, absurde absurdité. Nos humanités superposées, Une fraternité fragilisée, Deux doigts de la même main, Une diversité liée par un même destin, La différence est le point de division, Mais cette différence est aussi notre communion. Tu traînes dans l'obscurité, Tu te caches dans la lueur, Pourtant je t'ai dans la peau, Et je t'ai dans le cœur, Étrange étranger, absurde absurdité Unis dans la solitude collective, De nos unions sans aucune perspective, En un index, en un clin d'œil Nouveau symbole national D'une partiale journée de deuil Des histoires racontées que personne n'arrive à expliquer Des bouts de nouvelles que l'on a tricotés, Une couverture qui n'offre aucun abri, Médiatique Contre tempête, contre haine, Contre tout ce que l'on vous aura appris, Tu traînes dans l'obscurité, Tu te caches dans la lueur, Mais je t'ai dans la peau, Et encore dans le cœur, Étrange étranger, absurde absurdité L'enfant naît dans ce monde avec aucune crainte, Rappelez-vous-en Aucun jugement et aucune peur, Ce n'est que la curiosité de la découverte dans les yeux, Ce n'est que des boules d'amour dans le cœur, Une haine étrange, Une noirceur absurde, Étrange étranger, Absurde absurdité. De ma noirceur je te couvre Et de mon sourire que je t'effraie Prends-moi encore une fois, Prends mon souffle, prends ma vie, Prends-moi dans tes bras, peut-être juste une fois Peut-être juste une seule fois Mais prends-moi. Partons. Au loin. Loin d'ici. Loin de tout. Loin de nos couleurs et de nos douleurs. Près de nos ferveurs et encore plus de nos cœurs Que je te ressente encore couler sous ma peau À l'unisson, sans moyen de sortie Sans trou, sans giclée Sans amnésie des secondes qui tirent, Les secondes avant qu'il ne tire Avant que tu ne te perdes dans un sanglot de bouffées d'air Étrange étranger, absurde absurdité. Si je me hais dans ma peau, Je te retiendrai dans le cœur, Je pousserai comme une fleur Au milieu du bitume Sous l'engrais de mon hémoglobine, De mon plasma, et de ma résine, Qu'on se résigne À l'arrêt! Vacciné je serai Vacciné le temps sera, de mon sérum De ma lignée, de ma sève, de ma généalogie, De ma descendance et de mon existence Encore happé, de vos voiliers À vos quartiers délabrés Je reviendrai Je resterai Dans vos cœurs, sous votre peau Étrange étranger. Absurde absurdité.
Writer(s): Sebastien Gauvin, Yaovi Ganyo Hoyi, Bernardin Nathalie Lyrics powered by www.musixmatch.com
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