Tekst Utworu

Elles sont longues et sans raison Les heures qui s'écoulent ici Les gens circulent par millions Mais je suis toute seule à Paris Dans ce Paris où chaque jour Je rêve sous un ciel trop gris De m'entendre dire bonjour Avec l'accent de mon pays Mais peut-être qu'un jour Le parfum du maquis Comme autrefois m'inondera Et me bercera dans ses bras Mais peut-être qu'un jour Je reverrai la mer Les vagues bleues et les bateaux Dans le golfe de Porto-Vecchio Comment voulez-vous que j'oublie Dominique avec ses chansons? Elles m'ont suivie jusqu'ici Et jamais ne me quitteront Je rêve de mouettes la nuit Oui, mais pourtant chaque matin C'est un pigeon des Tuileries Qui vient se poser sur ma main Mais peut-être qu'un jour Le parfum du maquis Comme autrefois m'inondera Et me bercera dans ses bras Mais peut-être qu'un jour Je reverrai la mer Les vagues bleues et les bateaux Dans le golfe de Porto-Vecchio La-la-la-la-la-la La-la-la-la-la-la La-la-la-la-la-la La-la-la-la-la-la Mais le plus beau village, le plus beau coin de Corse C'est pour chacun l'endroit où il est né Moi, je suis né dans une sorte de nid d'aigle Une paese gansik Adossé à la montagne dominant la mer La mer que je contemplait étant enfant pendant de longs moments Car elle porte toutes mes espérances Celle d'une longue vie qu'on disait plus belle
Writer(s): Francis Albert Lai, M. Jourdan Lyrics powered by www.musixmatch.com
instagramSharePathic_arrow_out