Toi,
Zoé,
On s'est tellement regardé,
Qu'un jour,
On s'est éloigné,
Pendant des années.
Moi,
Paumé,
Sur une île endettée,
D'amour,
Je ne pouvais oublier,
Ce que tu m'as donné.
Je ne sais plus comment faire,
Pour retrouver mes repères,
Dans cette chaleur qui m'inonde.
Je me suis aventuré,
Là où je n'avais plus pied...
T'y a cru Zoé?
Ohé, Ohé, Ohé...
L'amour ça ne dure jamais.
Ohé, Ohé, Ohé...
Des rivages pour m'évader.
Épauler la vague,
Jusqu'à ce que l'orage se calme.
L'horizon devant moi,
J'appelle mais tu n'es plus là!
Ohé!
Réponds-moi, je n'attends que ça!
Ohé!
Je suis là!
Ton mirage me poursuit encore.
Et quand le ciel change ses atours,
Et qu'une embellie voit le jour,
Pavillon battant d'un brin d'amour.
Je commence à naviguer,
Vers des terres inexplorées...
T'y a cru Zoé?
Ohé, Ohé, Ohé...
L'amour ça ne dure jamais.
Ohé, Ohé, Ohé...
Je cherche à t'oublier.
Ohé, Ohé, Ohé...
Perdu sur ton île Zoé.
Ohé, Ohé, Ohé...
Les étoiles pour me guider!
Encore une fois, ma détresse,
Restera sans la promesse,
D'être avec toi, mais je n'ai plus, le cœur à ça...
T'y a cru Zoé?
Ohé, Ohé, Ohé... Zoé!
L'amour ça ne dure jamais.
Ohé, Ohé, Ohé... Zoé!
Je cherche à t'oublier, non, non.
Ohé, Ohé, Ohé... Zoé!
Perdu sur ton île Zoé.
Ohé, Ohé, Ohé...
Des rivages pour m'évader!
Pan Pan, Pan Pan, Pan Pan. Zoé, Zoé, Zoé .
