Texty

Le F pour exporter mon fief le porter en friche fièrement Je me fiche de tous vos chefs, je suis riche de firmament Pour ma folie pour mes griefs que t'étonnent mes quelques fantômes Que chantonnent mes atomes ma mélancolie dans le zef F, car tout est bref avant la fin tous aphones Tous défunts et dans cette faune tous les hommes ont faim de bénef Pour la haine qu'ils nous greffent Pour mes peines pour mes cris furtifs Quand mes écrits manquent de relief ça larscène sous mes tifs Le A parce que dans l'embarras vu d'ici ou de là-bas C'est un branle-bas de combat mes récits font leur débarras Pour la baraka quand sur ma face sonne le glas Quand je frissonne dans leur verglas que je trace avec mes tracas À contre mes fracas dignes en jean sans apparats Pour ces lignes sans mascara que je signe en 24 carats Pour leur mascarade d'État des tonnes de bétas Détonne ma voix ma vendetta ma parade à leur omerta Viens le Y envie d'un break partir sans chèque Pour ces textes que je dissèque la satire d'un écrivain tchèque Pour mon air sec pour mes quelques prises de bec Pour mes valeurs intrinsèques la douleur d'un frère aux obsèques Couleur métèque garde mes codes mes pierres impecs Aux antipodes de leur copeks pour l'heure fier de quelques bsahtek Pour ma peur de l'échec pour mes rêves morts sans remake Ma vie brève dans leur codec alors vas-y check Six lettres de noblesses, mais n'aie pas grand-chose d'un châtelain Que mes roses mes mots blessent Qu'elles sortent grandioses de mon patelin Me rapportent peu d'écus, mais qu'elles exportent ma psyché Pour qu'elles soient fortes face aux Clichés jamais tricher sur leur vécu Six lettres de noblesses, mais n'aie pas grand-chose d'un châtelain Que mes roses mes mots blessent Qu'elles sortent grandioses de mon patelin Me rapportent peu d'écus, mais qu'elles exportent ma psyché Pour qu'elles soient fortes face aux Clichés jamais tricher sur leur vécu Vient le C cédille pour que les yeux des miens brillent Sous les cieux mon art une vrille du feu sur mes brindilles Pour ma jeunesse mon stock de bille l'époque des pupilles Me moque du coq de ces belles filles smoke avec finesse qui roupille Pour tout ce temps que je gaspille navré où l'on fourmille Entends que si je dégoupille, c'est au nom de ma vraie famille Pour ces doutes qui s'éparpillent ces routes d'altitude que j'enquille Goûte la quiétude sur mes papilles deux-trois gars pour béquille Revient le A pour b.a. ba pour que soit ample mon pe-ra C'est du tagga du tabac sur un beau sample d'opéra Pour se fier au trépas pas à l'asphalte à la smala Et au keffieh pour les pas d'Arafat à Ramallah A pour ma gueule de rat ma gamberge mon chemin de croix Vois la berge du moins, j'y crois, mais si je suis seul qui m'aidera Pour la grêle qui s'abat sur ceux qui jugent sans cas par cas Moi, un peu frêle sans ma parka, parfois gruge et me débat L au naturel pour toutes ces bornes sous mes semelles Ces cornes qui à mon âme se mêlent le macadam et ces querelles Pour l'amour maternel paternel et fraternel Calme et classique sous l'éternel basique de ma tour sentinelle Dans mes prunelles toute une réserve de fiel Préserve le potentiel conserve ma verve pour opinel Pour ceux qu'on délaisse à l'appel ma politesse sous leur scalpel Quelques tristesses dans ma chapelle laisse que je t'épèle Six lettres de noblesses, mais n'aie pas grand-chose d'un châtelain Que mes roses mes mots blessent Qu'elles sortent grandioses de mon patelin Me rapportent peu d'écus, mais qu'elles exportent ma psyché Pour qu'elles soient fortes face aux Clichés jamais tricher sur leur vécu Six lettres de noblesses, mais n'aie pas grand-chose d'un châtelain Que mes roses mes mots blessent Qu'elles sortent grandioses de mon patelin Me rapportent peu d'écus, mais qu'elles exportent ma psyché Pour qu'elles soient fortes face aux Clichés jamais tricher sur leur vécu
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