Paroles

(Oh ouais) Faut pas travailler trop trop fort Pour monter dans la hiérarchill Faut pas travailler trop trop fort Pour monter dans la hiérarchill (ha ha) Mes chums me disent "C'est tellement wack De passer toute sa jeunesse à genoux À plat-ventriste, aveugle, une corde au cou À remplir des papiers pour ne plus être Un sans-papiers, un sans-dessein Un parasite, un déclassé Un pas vite vite ben mal vissé Un grand déficient, un gros déficit Un beau croc-en-jambe à' société Mais si on est des bons à rien, au moins on a du flair Au nom de la loi du moindre effort Que l'on s'arrête le temps de rien faire C'est comme ça qu'on s'améliore" Faut pas travailler trop trop fort Pour monter dans la hiérarchill (ha ha) Faut pas travailler trop trop fort Pour monter dans la hiérarchill Ouain ben, mes chums capotent, en fait y trouvent ça drôle De nous voir courir après une carotte "Mmm-mmm, ça doit goûter les clés de vos propres menottes Mais nous, on n'a pas les yeux plus grands qu'la panse La méritocratie nous fait tomber sans connaissance Car, l'ascension n'est pas sans souffrance Lorsqu'on s'élève dans le non-sens" OK, c'est un mouvement plutôt paradoxal Étant donné ses militants passifs et immobiles Qui rêvent d'un renversement du modèle social C'est une révolution tranquille Faut pas travailler trop trop fort Pour monter dans la hiérarchill Dans le piège du moule-moule-moule Je n'veux plus y aller, maman Des gens bien serviles-viles-viles M'ont fait trop pleurer, maman Dans le piège du moule-moule-moule Je n'veux plus y aller, maman Des gens bien serviles-viles-viles M'ont fait trop pleurer, maman Dans le piège du moule-moule-moule Je n'veux plus y aller, maman Des gens bien serviles-viles-viles M'ont fait trop pleurer, maman Dans le piège du moule-moule-moule Je n'veux plus y aller, maman Des gens bien serviles-viles-viles M'ont fait trop pleurer, maman Dans le piège du moule-moule-moule Je n'veux plus y aller, maman Des gens bien serviles-viles-viles M'ont fait trop pleurer, maman Dans le piège du moule-moule-moule Je n'veux plus y aller, maman Des gens bien serviles-viles-viles M'ont fait trop pleurer, maman Dans le piège du moule-moule-moule Je n'veux plus y aller, maman
Writer(s): Jérôme Charette-pépin Lyrics powered by www.musixmatch.com
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