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Crédits
INTERPRÉTATION
ZAZ
Chant
David Hoogerheide
Programmation
Reyn
Piano
Mori Midori
Clarinette basse
Thomas Coeuriot
Guitare électrique
Bert Helsen
Basson
Hans Vandaele
Violoncelle
Karel Steylaerts
Violoncelle
Maarten Wijnen
Cor anglais
Raphael Chassin
Batterie
Wouter Van den Eynde
Flûte
Mark Steylaerts
Direction d’orchestre
Christophe Pochet
Violon
Eline Pauwels
Violon
Eric Baeten
Violon
Gudrun Vercampt
Violon
Karel Ingelaere
Violon
Marc Tooten
Violon
Philippe Allard
Violon
Véronique Gilis
Violon
COMPOSITION ET PAROLES
Davide Esposito
Composition
Renaud Rebillaud
Composition
Antoine Graugnard
Paroles
Seb el Zin
Arrangement
Reyn
Orchestration
PRODUCTION ET INGÉNIERIE
David Hoogerheide
Ingénierie
Reyn
Production
Alex Point
Ingénierie
Bernard Natier
Ingénierie
Didier Cristini
Ingénierie
Sylvain Carpentier
Ingénierie
Mickael Rangeard
Ingénierie de mastérisation
Nicolas Quere
Ingénierie de mixage
Paroles
Je fait les cent pas et cent fois le tour de mes poches
Chaque pas de plus qui m'éloignera me rapproche
Les rues que l'on rase, les gens que l'on croise nous emportent
Je m'élance et me raccroche
Suivant l'avenue qui longe le parvis d'une gare
Puis sur d'autres rues qui donneront sur un boulevard
C'est un raccourci le long d'un côté du trottoir
Rendez-vous donné nulle part
Je vais droit devant, droit devant moi
Où ça, je sais ça, je sais pas
Suivant le mouvement perpétuellement
Disparaissent les passants
À perte de rue, je m'abandonne
La nuit venue, quand tous les autre dorment
À l'inconnu, quand minuit sonne, je ne suis plus personne
À perte de rue, je tourbillonne
Le bruit qui dure, de mes pas qui résonnent
S'en va sans but quand minuit sonne
Je ne suis plus personne
Les rideaux de fer sur les magasins descendus
Au néon s'éclaire un logo lointain suspendu
Sous les réverbères un peu de lumière disparue
L'univers d'une ville à nu
Les premiers passants, les premiers croissants se préparent
La journée en blanc prête à repasser son costard
Quelques habitants, quelques oiseaux
Cinq heures et quart, le premier métro qui part
Je vais droit devant, droit devant moi
Où ça, je sais ça, je sais pas
Suivant le mouvement perpétuellement
Disparaissent les passants
À perte de rue, je m'abandonne
La nuit venue, quand tous les autres dorment
À l'inconnu, quand minuit sonne
Je ne suis plus personne
À perte de rue, je tourbillonne
Le bruit qui dure, de mes pas qui résonnent
À l'inconnu, quand minuit sonne
Je ne suis plus personne
À perte de rue, je m'abandonne
La nuit venue, quand tous les autres dorment
À l'inconnu, quand minuit sonne
Je ne suis plus personne
Writer(s): Renaud Rebillaud, Davide Esposito, Antoine Graugnard
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