Marcher sans savoir

Face au miroir se dresse ses visages

Autant de visions que de passages

Les yeux se lèvent vers l'inconnu

S'affichent les portes décousues

Elle se retourne et l'aperçoit

La percée, quel éclat !

Mais avant de dessiner la peur, elle est là et te tient

Faudra être prêt à tomber, peur de sauter

Avant de dessiner la peur, elle est là et te tient

Faudra être prêt à sombrer, se laisser porter

Oh le dessein se devine

Un chemin se dessine

Quand tout sonne faux

Et quand viendra le temps du brouillard, il faudra, il faudra

Marcher sans savoir il n'y a que toi qui pourra, qui pourra

Les mains parcheminées se laisse guidées

Sans trop regarder elles sentent où aller

Le long du tissage, se trace le voyage

Elles caressent les fils rouges et noirs

Même le soir, sans les voir

Mais avant de dessiner la peur, elle est là et te tient

Faudra être prêt à tomber, peur de sauter

Avant de dessiner la peur, elle est là et te tient

Faudra être prêt à sombrer, se laisser porter

Oh le dessein se devine

Un chemin se dessine

Quand tout sonne faux

Et quand viendra le temps du brouillard, il faudra, il faudra

Marcher sans savoir il n'y a que toi qui pourra, qui pourra

Et quand viendra le temps du brouillard, il faudra, il faudra

Marcher sans savoir il n'y a que toi qui pourra, qui pourra

Et quand viendra le temps du brouillard, il faudra, il faudra

Marcher sans savoir il n'y a que toi qui pourra, qui pourra