9 Septembre

J’pence à toi, j’pence au jour ou j’t’ai connu tout petit, j’revois cet éclat emplir tes yeux t’avais 2 ans tout pile,

Tu regardais tout comme, moi par le passé seulement si moi je m’en souviens tes souvenirs se sont effacer peut-être,

Ça fait longtemps que, je n’te sentais plus, ta rejoins tous ceux qui me manque j’t’est dit d’partir ou bien j’sais plus,

J’me rappel plus de, s’qui te rendais triste, tu passais du rire aux larmes, t’avait déjà l’âme d’un artiste,

Dans le désert tu contemplais le ciel, ton père et ta mère vous emmenai toi, et ta sœur à déployer vos ailes,

Pour connaitre le monde, dans lequel tu vie, ils t’enseignèrent le voyage, valeur de leur philosophie mais,

Le temp dépasse chacun, et comme le temp passe, l’épais voile de ton enfance finira par céder sa place,

Une page d’ta vie s’efface, mais pas complètement, elle se tourne et concrètement, faut l’accepter car nul ne la remplace…

Quand j’me rappel de ton enfance, j’ai comme des images qui me parviennent en flash devant ma vue

J’ai parfois senti ta présence, entendue ta voix qui fait en moi l’effet d’un déjà vue,

Quand j’me rappel de ton enfance, j’ai comme des images qui me parviennent en flash devant ma vue

J’ai parfois senti ta présence, entendue ta voix qui fait en moi l’effet d’un déjà vue

Quand j’me rappel de ton enfance, j’ai comme des images qui me parviennent en flash devant ma vue

J’ai parfois senti ta présence, entendue ta voix qui fait en moi l’effet d’un déjà vue

Comme tout gamin tu squat, perd ton innocence, tu souffre un peu plus chaque jour d’un désir de reconnaissance,

Pas fière de ton essence, ta confiance est faible, donc tu cèdes à l’influence de nombreuses fables,

Tes parents te précèdent et ils le savent, mais, que veut tu qu’il fassent, ils ont fait tout leurs possible tu flippe que ta vie les déçoive,

Tu rejoint tes potes chaque jours, pour fumer des clopes, avec eux tu te sens cool, belle amitié qui vous enveloppe,

Tu sort la nuit dans le secret, mais pas le mieux gardé, crasses sur les voitures reste sur place juste pour les regarder,

D’la clop au joint le chemin est court il ronge ta volonté, tu longe l’obscurité sans une once de maturité,

Jusqu’à se jours d’automne, la mort était loin, tu vivais chaque jour un printemps sans jamais penser au lendemain,

Ton se fait descendre, ce même jour d’automne et tu t’envole dans son souvenir pour disparaitre un 9 septembre…

Quand j’me rappel de ton enfance, j’ai comme des images qui me parviennent en flash devant ma vue

J’ai parfois senti ta présence, entendue ta voix qui fait en moi l’effet d’un déjà vue

Quand j’me rappel de ton enfance, j’ai comme des images qui me parviennent en flash devant ma vue

J’ai parfois senti ta présence, entendue ta voix qui fait en moi l’effet d’un déjà vue

Quand j’me rappel de ton enfance, j’ai comme des images qui me parviennent en flash devant ma vue

J’ai parfois senti ta présence, entendue ta voix qui fait en moi l’effet d’un déjà vue

Quand j’me rappel de ton enfance, j’ai comme des images qui me parviennent en flash devant ma vue

J’ai parfois senti ta présence, entendue ta voix qui fait en moi l’effet d’un déjà vue