Tekst Utworu

Imagine on compte toutes les fois ou quand on m'a demandé "ça va?" J'ai répondu "oui" alors qu'en vrai ça allait pas du tout Non là ça va pas, regarde-moi, ça s'voit sur ma gueule Est-c'que tu crois vraiment qu'je vais bien? J'te réponds "oui" parce que j'ai pas vraiment le choix Non, c'est pas normal de répondre non Imagine le malaise si j'réponds "non" Si j'te dis que je supporte plus la pression Viens, tu m'poses plus la question Comme ça plus besoin de faire semblant en se cachant derrière un sourire J'ai appris qu'on peut souffrir de tout, mais qu'on peut pas tout dire Marre de tout cacher, un jour, on m'a dit "t'es un homme, faut qu'tu sois fort" Moi j'ai pas capté, c'était comme si on m'avait dit "si tu veux vivre, faut qu'tu sois mort" (On m'demande "salut ça va?", mais en vrai on s'en fout) (C'est une façon polie d'dire "bonjour") (Du coup à chaque fois j'dis) Ça va, ça va, ça va Ça va, ça va Ça va, ça va, ça va Ça va, ça va, ça va Ça va, ça va, ça va, merci, ça va Ça va, ça va, ça va Ça va, ça va, ça va Non là ça va pas, ma meuf m'a quitté, elle m'reprochait de pas m'impliquer Quand elle m'a dit "j'ai plus la flamme", j'lui ai offert un briquet J'suis perdu comme quand la route est mal indiquée L'amour, c'est comme un puzzle, c'est beau, mais c'est compliqué J'aurais dû lui dire "je t'aime" à chaque fois que j'l'écrivais J'étais fatigué, mon boss m'a dit "soit tu t'y mets", je me suis fait virer Je sais qu'tout est éphémère, j'sais rien faire à part me laisser faire Le bonheur, c'est comme un tatouage, un jour, on s'le fait piquer Ça va, ça va, ça va Ça va, ça va Ça va, ça va, ça va Ça va, ça va, ça va Ça va, ça va, ça va, merci, ça va Ça va, ça va, ça va Ça va, ça va, ça va Non là ça va pas, j'ai comme un coup d'mou, je suis pas vraiment dans un good mood La vie, c'est un peu comme des pâtes seules, ça n'a pas beaucoup d'goût Il s'passe pas grand-chose comme dans un match de Ligue 2 J'écris toutes mes idées noires avec un stylo bic bleu Je rêve d'une épouse sur laquelle j'pourrais compter J'ai trop d'trucs à raconter, j'ai trop d'trucs à affronter Je garde le sourire, je fake, je n'montre rien Mais plutôt mourir que d'avouer qu'je vais pas bien (C'est un cadeau empoisonné en fait ces lunettes, putain) (J'écris que des trucs tristes, des trucs de dépressif) (Téma les cernes, woah la gueule que j'ai)
Writer(s): Steven Jarny, Clement Libes, Alexandre Ghamo, Nino Vella, Olivio Laurentino Ordonez, Yoshio Masuda Lyrics powered by www.musixmatch.com
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