album cover
2013
520
Hip-Hop/Rap
2013 was released on February 28, 2016 by L'Oeil Ecoute Laboratoire / Back in the Dayz as a part of the album Morale
album cover
AlbumMorale
Release DateFebruary 28, 2016
LabelL'Oeil Ecoute Laboratoire / Back in the Dayz
Melodicness
Acousticness
Valence
Danceability
Energy
BPM86

Credits

Lyrics

Mets ta veste pardi et l’aff’, et la paire de Stan
Yes, hein, hein
Elvis Roméo, le Motel à la prod
2013-2016 Bruxelles est devenu la jungle, morale
Hein, hein, hein
Et j’en place une pour mes followers, c’est fou, merci d’être vous
Et d’écouter les tracks sous de l’herbe douce
Un jus de coconuts, on est parti
Mets ta veste pardi et ta paire de Stan Smith
On est jamais que des ketjes, des gosses
Je prétends pas connaitre le rap à fond la caisse
Ou bien comme le fond de ma poche
Je fais des sons et je bouffe avec les sous du boulot
Je fais des tubes, j’arrive jamais au bout du rouleau
C’est ma méthode, la musique reste un passe-temps
Je veux pas toucher l’or, je gère mal mon argent
Papa m’a donné le gout du rythme et maman l’envie d’en parler
Je rappe avec la voix du padre et des souvenirs
Et j’en place une pour mes défenseurs
Une pour mes vrais disciples
Une pour tous ceux qui croyaient dur à ma réussite
Une pour mes ODC, une pour Le Motel, ouais
J’ai pas de problème à rester trop frais et à progresser
Une pour mes défenseurs
Une pour mes vrais disciples
Une pour tous ceux qui croyaient dur à ma réussite
Une pour mes ODC et une pour Le Motel, ouais
Et j’étais vraiment nul au foot en club mais j’aimais jouer seul
J’imaginais que je barrais la route à Wayne Roonie
La foule était en délire puis je quittais le sol
Pour une retournée dégourdie, la balle finit dans le goal
C’était mon truc et donc faire face à la réalité en soi
Ça voulait dire aller jouer en club avec des déter’, des bouffeurs de ballons
Et même dans l’esprit de groupe, je me retrouve tout seul
Une enfance tranquille, j’ai surtout grandi dans cette école d’art
On dormait à l’internat, c’était les plus belles heures de ma vie
Une nouvelle famille loin de Linkebeek et de celle que j’avais trahi
Vu que j’étais ce petit te-bê trop naïf
Et j’en place une pour mes défenseurs
Une pour mes vrais disciples
Une pour tous ceux qui croyaient dur à ma réussite
Une pour mes ODC, une pour Le Motel, ouais
J’ai pas de problème à rester trop frais et à progresser
Une pour mes défenseurs
Une pour mes vrais disciples
Une pour tous ceux qui croyaient dur à ma réussite
Une pour mes ODC et une pour Le Motel, ouais
Hein, hein, hein, hein
Une pour Nino et les VDS, Martine, Esteban et la banda ouais les vrais, les vrais
Les parigos de Doornik, l’OFM et mes homies, et ceux du 1630
Les prodiges, mes vrais frères
Mon vrai père est un grand chanteur
Une pour la famille et les disparus de cette terre
Reste vrai, pense à ceux qui étaient là avant toi
J’en retire une aux fascistes parsemés
Vous êtes partout comme le 4G et les faux artistes babtous
Merde, j’emploie des rimes faciles, c’est vite fait
Mais qui osera dire qu’il ne comprend pas le vis-El ?
C’est pour tous mes frères, toutes mes sœurs
Les gens qui viennent aux concerts
Pour la famille, l’Œil Écoute Laboratoire
L’or du Commun, Back in the Dayz, Stikstoff
Ma deuxième famille
(The dawn is filled with dreams)
(So many dreams, which one is mine, oh)
Je voulais te dire l’autre jour mais j’ai pas osé
(The dawn is filled with dreams)
Alors, je t’ai envoyé un SMS pour te dire que je t’aime
(So many dreams, which one is mine, oh)
Je voulais croire à l’impossible, un amour parfait
(The dawn is filled with dreams)
Faire le double de ma lessive et mourir accompagné
« Mais j’ai des doutes concernant tes frénésies »
(So many dreams, which one is mine, oh)
Disait-elle au téléphone, je me calme et tu m’ouvres la porte
C’est les mêmes conneries qu’hier soir
Celles de demain seront pareilles
(The dawn is filled with dreams)
Ne vois-tu pas que mon amour est parti ?
Ne vois-tu pas que tous les messages que j’ignore ?
(So many dreams)
Pitié, je t’implore, ne vois-tu pas que je quitte le navire ?
De l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas, je l’ai enjambé
Enchanté, je suis incapable de le demander
Chérie, voudrais-tu te taire ? Et laisse faire la douleur
J’espère du fond du cœur que tu souffres
J’espère que les séquelles s’effacent
À Bruxelles, j’ai le cœur vide et les mêmes histoires néfastes
Sèche ces fausses larmes et tes souvenirs
J’envenime le drame par la haine et la tragédie
Bagatelle et crises de nerfs en défense
Je n’ai plus d’essence pour me bagarrer ou profaner des sentences
Examine ma race, mes cernes en disent long sur mes pensées
De l’ombre et des idées noires
Juliette, comme par hasard, ça finit mal
On s’était pourtant promis pas de coups de putes, pas de filatures
Et mes histoires d’amour me donnent le mal de crâne
Et t’es parano, pars avant que je devienne crade et que je perde le nord
Juliette, comme par hasard, ça finit mal
On s’était pourtant promis pas de coups de putes, pas de filatures
Et mes histoires d’amour me donnent le mal de crâne
Et t’es parano, pars avant que je devienne crade et que je perde le nord
Douleur, cette fois, ça ne passera pas
Douleur, doul-douleur cette fois, ça ne passera pas
Douleur, cette fois, ça ne passera pas
D’où le triste faciès que je présente tous les soirs
Du monde dans les soirées
L’alcool est une drogue, mes synapses lâchent Porte de Hal
J’avais dit : « Plus tard » Mais mon corps s’écroule et touche le sol de plein fouet
J’ai la bile qui coule et toutes mes poches sont pleines de néant
Un aller simple au pays des emmerdes, du célibataire s’il vous plaît
J’ai la flemme d’y retourner mais j’ai pas d’autres options
Cette fille me dégoûte, mon Dieu qu’elle était belle
Quand sa peau prenait des couleurs du soleil
Douleur, cette fois, ça ne passera pas
D’où le triste faciès que je présente tous les soirs
(Must invite, must invite, must invite, for me)
(Must invite, must invite, must invite, for me)
(Must invite, must invite, must invite, for me)
La flamme s’éteint pour toujours quand le bic est vide
(Must invite, must invite, must invite, for me)
(Which dream of all the dreams)
Written by: Fabien Leclerq, Pierre Bertrand, R. Van Laeken
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