Lyrics

Thérapie Tu étais la miraculeuse un peu frileuse pour un phœnix Ma nébuleuse quand je te fixe, j'ai le Styx au fond des yeux Tu avais mal à devenir dingue, qui t'aurais cru de toute façon? T'étais la balle, j'étais le flingue qui traversé tous les plastrons J'étais l'armure, toi la cuirasse, putain, qu'on était beau Nous étions la rue de l'impasse nos âmes au milieux du chaos On partira à la dérive on laissera que des peut-êtres Quand est-ce que l'on arrive? Quand est-ce que tout s'arrête? J'ai des réponses plein la tête mais aucunes ne rimes à rien Dans cette parenthèse ouverte qui finit par trois petits points Tu ne parles jamais d'avenir car tu peines avoir le tiens Quand tout va bien, t'as rien n'a dire Le pire c'est quand tu ne dis rien C'est autrement qu'tu communiques, t'es ni mutique, ni réservé T'es juste un peu pudique et en publique tu préfères observer Ne pleure pas mon départ, moi je trouve ça incensé La seule distance qui nous sépare, ma belle, est celle de la pensée À trop se dévoiler, ça peut laisser des marques Dans mon ciel étoilé, t'étais sûrement la plus dark Et plus je m'approchais, plus t'étais brillante Dans mon ciel étoilé, tu n'es plus qu'une étoile fuyante À trop se dévoiler, ça peut laisser des marques Dans mon ciel étoilé, t'étais sûrement la plus dark Et plus je m'approchais, plus t'étais brillante Dans mon ciel étoilé, tu n'es plus qu'une étoile fuyante J'ai jamais eu les crocs, pire je te mangeais des yeux Mais j'voulais juste trouver les mots Pour te décrire dans ton jean bleu Je m'en balec que t'es la côte, qu'elle fasse bander ta paire de seins Tous ces mecs qui jouent les coqs, moi j'reste un loup parmi les siens On se croit irremplaçable mais on est finalement Qu'un infime grain de sable entre les griffes du temps Il arrive que l'on gagne et puis qu'on perde tout On déplace des montagnes qui ne sont que des cailloux Et si le monde entier bascule, quoi qu'il arrive, tiens toi debout On paraît bien minuscule quand on reste à genoux Le pire pour les gens comme nous, c'est d'avoir des semblables De savoir qu'ils sont partout mais qu'ils resteront introuvables Nos idées se contrastent, t'es belle même indignée J'regarde nos planètes s'aligner avant qu'nos désirs soient désastres Même si ton cœur se tord, respire, tu peux encore sourire Comment te dire Ce qui est mort ne peut mourir À trop se dévoiler, ça peut laisser des marques Dans mon ciel étoilé, t'étais sûrement la plus dark Et plus je m'approchais, plus t'étais brillante Dans mon ciel étoilé, tu n'es plus qu'une étoile fuyante À trop se dévoiler, ça peut laisser des marques Dans mon ciel étoilé, t'étais sûrement la plus dark Et plus je m'approchais, plus t'étais brillante Dans mon ciel étoilé, tu n'es plus qu'une étoile fuyante Et si je t'aime, et si je t'aime Et l'horizon en vain t'occulte Je t'aime encore parmi ces choses froides Ma vie inutilement affamée se fatigue J'aime ce que je n'ai pas Toi, tu es si distante Mon ennui lutte avec les longs crépuscules Mais la nuit vient et commence à chanter pour moi La lune fait tourner ses rouages de songes Les étoiles les plus grandes me regardent avec des yeux Et si je t'aime
Writer(s): Euphonik Lyrics powered by www.musixmatch.com
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