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Credits
COMPOSITION & LYRICS
Beatrice Luisa Nolin
Songwriter
Lyrics
Tu les entends, les oiseaux
Je les regarde voler, je n'ai plus peur
Et le vide se fait dans ma tête
Je la vois déjà la tempête
Je sais que tout s'écroulera demain
Que ce n'est que le début de la fin
J'en ai déjà vu des histoires comme celles-là
Des histoires où tout semble finir bien
Dans ce silence une petite voix se réveille
Elle me murmure que ce n'est seulement quand tout va à merveille
Que l'angoisse et les remords sortent de leur sommeil
Ils me rappellent que j'ai bien trop à perdre
Je n'ai plus peur du vide
J'ai bien plus peur de tout ce qui pourrait se passer si t'apprends à me lire
Si tu décides d'aller au-delà des apparences
Si tu parviens à m'ôter ce masque d'insouciance
Alors pendant 2,3 instants
Je prends le temps de me reposer et d'arrêter le temps
Je regarde tout le chemin que j'ai parcouru sans toi
C'est moche à dire mais ne t'en fais pas pour moi
Encore une énième journée qui se termine
Je regarde par la fenêtre, je me demande ce qui m'abîme
Je regarde par la fenêtre, je me demande ce qui m'abîme
Rien n'a changé autour de moi pourtant j'ai peur que tout se termine
J'ai encore un peu peur de tout ce que j'ai pas dit
De toutes ces choses qui ne sont pas sorties
J'ai peur qu'elles finissent par se faner
Et que la terre indifférente ne s'arrête pas de tourner
Et que la terre indifférente ne s'arrête pas de tourner
Parce que la terre indifférente s'arrêtera pas de tourner
Parce que la terre indifférente s'arrêtera pas de tourner
Ça y est le temps s'est arrêté
Voilà le calme après la tempête
Tu vas sûrement trouver ça bête
Mais toutes ces choses dont j'étais fière ne sont plus qu'un débris de miettes
Je ne sais pas à quoi m'attendre
Je marche sur un fil, je n'ai plus trop d'amour à revendre
Je sais pas si t'arriveras à entendre
Ces cris silencieux qui forment une boule dans mon ventre
Parfois la vie me fait bien rire
Ce n'est qu'un ensemble de fragments qui s'éloignent inexorablement
Ces souvenirs, j'apprends à les laisser partir
En espérant qu'à mon réveil un peu moins noir semble l'avenir
Je regarde par la fenêtre, je me demande ce qui m'abîme
Je regarde par la fenêtre, je me demande ce qui m'abîme
Rien n'a changé autour de moi pourtant j'ai peur que tout se termine
J'ai encore un peu peur de tout ce que j'ai pas dit
De toutes ces choses qui ne sont pas sorties
J'ai peur qu'elles finissent par se faner
Et que la terre indifférente ne s'arrête pas de tourner
Et que la terre indifférente ne s'arrête pas de tourner
Et que la terre indifférente ne s'arrête pas de tourner
Parce que la terre indifférente s'arrêtera pas de tourner
Il m'arrive parfois d'avoir peur
Alors pour oublier je chante, ça sert à effacer mes pleurs
Pour toi je suis sortie, sur l'herbe verte j'ai ramassé des fleurs
Mais je sais pas si tu voudras encore de moi quand je t'aurai montré ma douleur
J'ai encore un peu peur de tout ce que j'ai pas dit
De toutes ces choses qui ne sont pas sorties
J'ai encore un peu peur de tout ce que j'ai pas dit
De toutes ces choses qui ne sont pas sorties
J'ai peur qu'elles finissent par se faner
Et que la terre indifférente ne s'arrête pas de tourner
Et que la terre indifférente ne s'arrête pas de tourner
Et que la terre indifférente ne s'arrête pas de tourner
Parce que la terre indifférente s'arrêtera pas de tourner
Writer(s): Beatrice Nolin
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