Passantes des villes, j'vous épiais Quand me frôlaient, L'absence de vie Mes allergies au pollen : ‘Hey Poulettes, Vous restez de glace polaire ? Vous fondrez sous le sel de mes phases de colère !’
Rendez-moi des sourires, Sinon, Vos pommettes vont sécher puis se figer comme du ciment, Ce serait dommage, vous serez vieilles et laides, Creusées de vos rides par sillon…
Toi. J'vous connais, j'te promet. Vos façades j'suis sceptique c'est trop net. Sur le siège du tromé semble trôner. Puis se lève et s'efface, fille fugitive : comète.
Vol vers des pièges. Au-dessus plane des rapaces, Dessous j'déplace des collets. Parfois la proie se protège, C'pas grave, ma foi reste intacte J'fais des progrès.
Et l’instinct de survie s'réveille Car là j'vois trop de visages pâlir ! Fragiles au soleil, ville aride : Réveillez-vous !!! Putain Paris est tragique. -
J’ai besoin d’m’hydrater. J'commence à voir des mirages. Troubles. Au loin, c'est flou, c'est bizarre. J'ai l'espoir d'éclaircir vos bouilles sous l’orage...
