Les oiseaux qui passent

Emporte moi

Loin du monde

Rester chez soi

La pluie tombe

Pour une fois

Je m'effondre entre mes draps

Faudra pas compter sur moi

Servir d'appât

À ce monde

Les regards froids

Me surplomberont sûrement pas

Je me trompe encore une fois

J'ai comme l'impression d'être à côté de mes pas

Que les derniers resteront les derniers

Les regrets c'est comme les oiseaux qui passent

On peut que les regarder s'envoler

L'impression d'avoir que des faux départs

D'avoir plus souvent perdu que gagné

Faut naviguer au milieu des radars

C'est compliqué de tout laisser tomber, tomber

Emporte moi

Loin des villes

Rester chez soi immobile

Servir d'appât de mobile

Ca me va pas

Faudra pas compter sur moi

Je m'endors un peu

Et demain tout ira mieux

Et je brûle à petit feu

J'ai comme l'impression d'être à côté de mes pas

Que les derniers resteront les derniers

Les regrets c'est comme les oiseaux qui passent

On peut que les regarder s'envoler

L'impression d'avoir que des faux départs

D'avoir plus souvent perdu que gagné

Faut naviguer au milieu des radars

C'est compliqué de tout laisser tomber, tomber

Emporte-moi (oooh oooh)

Emporte-moi (ooh oooh) loin des villes

Oooh

J'ai comme l'impression d'être à côté de mes pas

Que les derniers resteront les derniers

Les regrets c'est comme les oiseaux qui passent

On peut que les regarder s'envoler

L'impression d'avoir que des faux départs

D'avoir plus souvent perdu que gagné

Faut naviguer au milieu des radars

C'est compliqué de tout laisser tomber tomber