Lyrics

Condamné à l'océan, au vent qui mène le bal. Oublié des honnêtes gens, du Dieu des cathédrales. Rien n'pouvant plus les sauver, on peut trainer nos âmes, Des tropiques aux bas-quartiers de Rotterdam. A force de chercher des brunes ou d'cacher nos erreurs. Nous gentillhommes de fortune, de quoi avons-nous peur? Plus du gibet de Savannah que de Satan et ses flammes, On préfère la mort du bras qui tient une lame. Prêts à livrer mille batailles pour l'or du roi d'Espagne, Le pont témoigne d'nos ripailles: c'est chaque fois que l'on gagne Le rhum et le chant des Hommes font briller les étoiles Sur une gigue on fait des mômes, on r'met les voiles Le cap sur les mers du Sud le temps nous en fait voir, On trouve notre lot de solitude, de haine, de désespoir Tant pis pour la proie facile qui croise notre route, Une vie contre un droit d'asile c'est ce que ça coûte. Yyyyyya Frères, assassins, déserteurs au destin sanguinaire, La bible, le Jolly Roger, un port ça va de pair Ce n'est pas le sang sur nos mains qui fera peur aux femmes, Comme nous elles valent moins que rien, moins que leur charme. Frères, assassins, déserteurs au destin sanguinaire, La bible, le Jolly Roger, un port ça va de pair Ce n'est pas le sang sur nos mains qui fera peur aux femmes, Comme nous elles valent moins que rien, moins que leur charme. Yyyyyya
Writer(s): Gary Wicknam Lyrics powered by www.musixmatch.com
instagramSharePathic_arrow_out