Lyrics

J'veux un gramme de finesse dans c'monde où je chute Je vis, je trame la tristesse dans c'monde de brutes J'veux un gramme de finesse J'veux un gramme de finesse dans c'monde où je chute Je vis, je trame la tristesse dans c'monde de brutes C'monde, inondé d'immondices quand le vice, Les sévices ont raison de nos vaillances Pour nos âmes, le diable fait preuve de mendicité Qu'tu sois homme de haute instance ou bandit de cité Te voile pas la face, tout n'est que barbaresque Tout n'est qu'une maudite farce ou un refus d'allégresse L'évolution mal employée depuis des décennies À agresser la nature à détruire des ethnies Fait qu'il n'y a plus d'gramme de compassion ou d'chance Y'a trop gramme d'orgueil et d'kilos d'arrogance Regarde un peu tout est en train de péter L'égoïsme nous ferme les yeux, la haine va nous les crever Mais attention à la rustine quand la colère rutile Sur l'épiderme de nos termes et d'façon subtile J'veux un gramme de finesse J'veux un gramme dans c'monde de chutes J'veux un gramme de finesse J'veux un gramme dans c'monde de chutes La légèreté d'un moment d'môme Ou l'mythe d'une cour de récré J'veux pas grandir comme tous ces clones Au rythme de besoins créés J'préfère mon bon vieux maître Que cet être uniforme qui s'fait mettre C'est pourquoi j'scrute les visages sans cesse J'bute sur l'pourquoi du paraître Et sur l'comment du plaisir commun observé J'sais que c'est des moments d'solitude, cet excès Ponctuel d'lucidité, qui m'fait flipper sur l'sujet J'sais pas comment l'prendre Encore moins comment le transcrire J'écris pour moi pour ceux qui transpirent Un gramme de finesse dans un monde où j'chute Un gramme de détresse quand tout le monde dit Chuuuuuut Un monde fait d'pubs où pute fait vendre c'est l'but Ou d'pub où l'but c'est d'vendre des putes (chuuut) Mais y'a pas d'surprise, pas d'cerise sur le gâteau Des règles acceptées par tous Certains taffent pour rien D'autres t'laugh à la gueule, lave les tiens Un monde à deux faciès, 3 vitesses, dix milles détresses Des jours avec, des jours sans stress Mais là c'est sombre Un texte d'une journée d'ambre et lassé de l'ombre Et cloîtré dans ma chambre et là c'est l'gong Le moment où j'plonge Une apnée d'une soirée où j'rêve Attelé à une monture de rêve J'trace ma route sur l'bitume Gauche droite, j'titube J'dis merde à celui qui crève J'balance ma putain d'trève et tous mes idéaux J'résouds les problèmes à coups d'dictons Mes nuits sans sommeil à coups d'cachetons Mais putain, lâche ton idéal de vue, ou accroche-le Mets ton argent d'côté, construis ta vie d'beauté Mais putain regarde ce qui se passe à côté Même le bonheur est coté, nos heures comptées Alors je scrute A la recherche d'un gramme de finesse dans un monde où j'chute Je scrute à la recherche d'un Gramme de finesse dans un monde où j'chute J'veux un gramme de finesse dans un monde où j'chute J'veux un gramme de finesse dans un monde où j'chute J'veux un gramme de finesse dans c'monde où je chute Je vis je trame la tristesse dans c'monde de brutes C'monde, inondé d'immondices Quand le vice, les sévices ont raison de nos vaillances J'veux un gramme de finesse dans c'monde où je chute Je vis je trame la tristesse dans c'monde de brutes C'monde, inondé d'immondices Quand le vice, les sévices ont raison de nos vaillances (...) Elle était belle grande et conne C'tait un vrai cas d'école Elle était chienne, veine et bonne C'tait une blonde qu'on étonne Elle était vide, elle était fine C'tait un beat qu'on déforme Elle est coquine, elle est maline C'est celle qu'on pine pour la forme Elle était fausse, elle était classe Celles qui ronflent quand elles dorment Elle était chaude, elle était garce Elle était clean sur la forme Elle est perfide elle est stupide A consommer sous alcool Elle est timide, elle est candide Quand elle fait style qu'on la colle Elle était snob, jeune et riche Avec une frange pour idole Elle était slim, elle était bich C'tait une fille qu'on isole Elle était chiante, elle était prise Elle s'étonne quand on l'aborde Elle était morne, elle était grise C'est celle qui flippe qu'on la morde Elle était peinte, elle était molle Elle avait des jolis dessous Elle était crainte, elle était folle Elle aime quand on en met partout Elle était saine, elle était brave Elle voulait un petit toutou Elle était sale, elle était suave Elle rêvait d'être Audrey Tautou Elle était lourde comme une pintade Avec des lunettes à la con Elle accrochait le quintal à de très grandes proportions Elle avait les mâchoires coincées Comme si elle musclait ses joues hautaines Comme si elle en jouait qu'ça fait un an qu'elle a pas jouit Elle était connasse comme pas deux, Une vraie panthère dans le paddock Des mecs elle en avait vingt-deux Et ils étaient tous très très mastocs Elle était cool mais elle puait Une baba qui traçait les routes Elle est venue me voir à Panam Et ses doigts de pieds puaient la croûte Elle était laide et sans boulot Avec du poil sous les bras Encore plus super crado Qu'une crotte de nez sur un goulot Elle était bonne comme un légume Intelligente comme un navet Et elle se mettait à baver pour résoudre le moindre calcul Elle est vraiment trop ridicule, quand elle se pavane à Montparnasse Avec son jean taille basse, string ficelle collé au cul Elle est vraiment trop vénale avec ses airs de sainte-Marie Mais à l'approche de la thune, elle agite ses narines
Writer(s): Alix Caillet, Jacques Cormary, Mathieu Lucchini Lyrics powered by www.musixmatch.com
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