Déssaler

Ton grain de peau qui défile

Circulaires, nos doigts se faufilent

Caché sous l'ombre des lumières, délivrer

Encaisser cache ton empire

Enlacer les larmes, les sourires

Adversaires en équipe, chavirer

Les secondes passent familières

Quelques vagues d'imaginaire

Passager, passagère saisonnier

Avant de dessaler, aller, aller, aller, aller, aller

On se laisse aller, aller, aller, aller, aller

Avant de dessaler, aller, aller, aller, aller, aller

On se laisse aller, aller, aller, aller, aller

Entre je sais et surprise

Gommer les avant sans rougir

Le pas, le pouce accélère

L'aube, l'aube rouge, l'éphémère

Au moment où tout se libère

Quand les regards grandissent et deviennent complices

Avant de dessaler, aller, aller, aller, aller, aller

On se laisse aller, aller, aller, aller, aller

Avant de dessaler, aller, aller, aller, aller, aller

On se laisse aller, aller, aller, aller, aller

Avant que tout s'efface

Avant que tout s'échappe

Avant que tout s'efface

Avant que tout s'échappe

Avant que tout s'efface

Avant que tout s'échappe

Avant que tout s'efface

Avant que tout s'échappe

On se laisse aller, aller

On se laisse aller, aller, aller, aller, aller, aller, aller