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Mon parquet sale commence à craquer J'ai l'sentiment d'être observé comme un fantôme noir Je me rue à l'interphone Mon pot de fleurs commence à glisser J'entends toujours leurs cris de folles J'entends toujours mes acouphènes Je vais sortir, enfin Peut-être, dérober ton chagrin Les marches tremblantes, j'ai cru croiser une tombe devant chez moi C'était simplement un miroir visant Visant mon regard si froid Depuis quatre ans, je n'ai pas vu Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Invitation dans un bar tout pété Un coin à lascars malfamés J'croise mon voisin sur le palier Envie de s'immoler comme une envie de pisser Puis la concierge au premier Toujours plus conne et mal-baisée Obligé de te toucher pour te parler comme un chien, à te renifler À peine passé la porte donnant sur la rue Les sirènes retentissent d'un même cri fasciste Et le regard tue, ce qu'il me reste d'humaniste Blasé comme un goret en manque de sexe Une virée en forêt devient une question de vie ou de mort Entre deux bâtiments, coincé dans deux garde-fous Mon regard se porte sur mes paupières vides L'arme absolue n'existe pas J'ai juste mon sperme en guise de jet pour les faire taire dans le rejet Dans un trou noir, j'ai vu ma mort C'était si beau, mais trop hardcore On s'croirait à Disneyland (on s'croirait à Disneyland) (Ma propre ville) ma propre ville (ma propre ville) Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances Tout va bien, cet été Chèques vacances, chèques vacances
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