Il paraît

Y a pas de mot pour le dire Un peu plus et ce sera pire Décrocher la lune si je n'ose Craindre les heures qui s'enterrent Celles qui sonnent toujours plus fières Balancer les dires et les choses Il paraît que dans un idéal Je t'emmène en cavale Prisonnier du temps qui passe Il paraît que c'est un drôle de jeu Qu'on ne peut faire qu'à deux Qu'on ne peut faire qu'à deux À toujours courber l'échine À renier son origine Pendu sur terre en overdose Il paraît que dans un idéal Je t'emmène en cavale Prisonnier du temps qui passe Il paraît que c'est un drôle de jeu Qu'on ne peut faire qu'à deux Prisonnier du temps qui passe S'avouer que plus rien ne menace en face Oh-oh-oh-oh, oh-oh Il paraît que dans un idéal Je t'emmène en cavale Prisonnier du temps qui passe Il paraît (que dans un idéal, dans un idéal) Dans un idéal (je t'emmène en cavale, je t'emmène en cavale) Je t'emmène en cavale (prisonnier du temps qui passe) (Il paraît que c'est un drôle de jeu, que c'est un drôle de jeu) il paraît (Qu'on ne peut faire qu'à deux, qu'on ne peut faire qu'à deux) Qu'on ne peut faire qu'à deux, dans un idéal (Il paraît) il paraît (que dans un idéal, dans un idéal) (Je t'emmène en cavale, je t'emmène en cavale) Prisonnier du temps qui passe